Nous voilà le jour convenu de notre prise de connaissance.
La dame a passé la semaine à m'envoyer des textos ben chauds, en m'expliquant à quel point sa libido avait besoin d’être réveillée autant que de chasser quelques toiles d’araignées…
Cette femme étant aisée elle me proposait 100 euros les 20 min, cela lui garantissait selon elle la confidentialité, la tolérance et la fidélité.
Je m’en tenais au 12 euro de l’heure mais acceptait le supplément en espèce.
Et nous y voilà, dans un instant je serai à poil en train de faire le larbin pour une nana en train de me reluquer en ne pensant qu'à une chose : me la toucher.
Le temps de me préparer, de prendre ma voiture et me voilà devant la porte.
Au début, j’avoue j’avais le trac mais ensuite, je me suis dit que c’est un job comme un autre.
Lorsqu'elle m'ouvre, je vois qu'elle n'a pas perdu de temps :elle est maquillée et en tenue très classe.
Elle me propose d'emblée un café.
Bien étonné de cet empressement, je me permets de lui faire remarquer que je suis ici en premier lieu pour faire un peu d’entretien.
Je jette un coup d’œil à la pièce et ne peux m'empêcher de constater qu'elle est déjà impeccable, je m’assois donc et j’accepte, nous allons pouvoir décider ensemble de la tournure des événements.
Les rôles paraissent inversés, suis je devenu homme de compagnie ?
En me regardant droit dans les yeux, elle verse le café qui malencontreusement coule à côté de ma tasse et sur mes vêtements.
Elle pose le bol de café et s’empresse d’attraper un essuie tout pour éponger au plus vite mon pantalon.
"désolé mon trésor !"
Je la retiens assez vite et comprends qu’elle a vite chercher à enfreindre la règle du contact, heureusement j’avais encore mon pantalon.
« Il va falloir que tu enlèves tes vêtements pour les laver, je suis vraiment maladroite »
Au début j’étais timide, ça me faisait bizarre.
Je tombe donc les vêtements et relève la tête pour la voir en train de m'analyser, des pieds à la tête.
"- Pas mal. Tourne-toi, quelle jolie queue."
Je me retourne, et elle essaye de me toucher aussitôt la queue mais j’esquive, elle paraît bien trop excitée.
"- Si c’est ainsi mets toi donc au boulot. Voici l’aspirateur juste ici. Et que ce soit bien fait, je vais m’asseoir dans le canapé et t'observer."
Son ton est devenu plus sec, serait elle frustrée ?
Je me met au boulot sans attendre, en tenue d’Adam avec le manche dans la main.
Je faisais des mouvements lents devant elle, je sentais qu’elle aimait. Avec ses yeux elle arrêtait pas de me fixer. Je la comprends, pour 100 euros, faut qu’elle rentabilise.
Au fur et à mesure que je nettoie, elle glisse La main dans sa culotte, elle se caresse en me regardant d'un air de chienne en rut. elle a l’œil vicieux. Perverse même. Ça ne me déplaît pas.
J'ai l'impression d'être un bout de viande à poil, qui fait le ménage, et qu’elle aimerait bien utiliser.
Voilà qu'elle enlève sa culotte et commence à se caresser plus intensément en passant sa langue sur ses lèvres.
Je vais lui donner ce qu'elle veut tiens : je me retourne et feinte de frotter une tâche vraiment incruster pour bien lever ma queue dans sa direction, bien raide.
Ça a l'air de faire son petit effet parce qu'elle redouble d'ardeur à s'astiquer, je l'entends."
- Alors c'est comme ça hein, tu m'aguiches ? Ça suffit. Viens-là."
J'obéis, je m'avance jusqu'au canapé, l'air joueur. J'arrive entre ses jambes, sans la quitter du regard.
Je suis complètement dans mon personnage de domestique. Ce qui excite ma dame m'excite aussi, par extension.
Mon sexe est à hauteur de son visage.
"- Vos désirs sont des ordres, Madame."
Elle est s’est mise nue et elle est charnue. Elle me demande de s’asseoir auprès d’elle.
Elle colle presque son visage au mien et elle ne rigole pas.
"- Il va falloir laver tes vêtements à la main."
Je me dirige vers le lavabo avec mes vêtements plein de café. La mousse et l’eau tiède lui donne apparemment des idées.
« peux tu nettoyer aussi tes parties ? »
Effectivement, cela s’apparentant à un spectacle et qu’il n’y a pas de contact je le peux. Nue devant moi et me caressant,
je ne peux retenir un début d ‘érection.
"- T'es un vrai cochon, pas vrai ? Allez, remet-toi au boulot."
Je me remet au travail, plus excité que jamais, la bite bien raide. Je nettoie mes vêtements.
Et je réalise soudain que je n’ai pas de change sec.
"Tant pis, mets les à sécher au soleil et tu vas faire les baies vitrées"
« votre jardin n’est pas clôturé et les voisins pourraient nous voir, répond-je »
« pas d’importance, remets ton boxer mouillé il sèchera sur toi, nous sommes en été. » Et elle m'envoie une grande claque sur les fesses
que je n’arrive pas à éviter.
"- C’est parce que je veux continuer à voir ta queue bien raide. »chicote t elle
« je vous rappelle qu’aucun contact physique n’est permis, ne recommencez pas s’il vous plait madame »
J'essaie de me remettre au travail. Le soleil caresse ma peau. Je m’imagine dans la célèbre publicité de cola avec ma raclette ?
"je vais arroser les fleurs avec le tuyau d’arrosage."
Mais elle revient près de moi et me rince d’une eau froide et rafraîchissante qui me fait perdre mon érection.
Je n’ai donc pas pu me sécher et j’ai retiré mon boxer trempé pour remettre mon pantalon à moitié humide .
La voisine nous a vu, par pudeur elle va se cacher.
« tu peux donner un coup de fer à ton pantalon pour accélérer le séchage, mais attention à ne pas brûler tes bijoux de familles mon trésor »
La voisine reviens sans qu’on ne se soit rendu compte. « Excusez moi , je ne comprends pas à quoi vous jouez , me cela me semble
intéressant ! »
« je fais du ménage chez madame, voulez vous profiter de mes services ? »
« intéressant je vais y réfléchir »
L’heure s’est écoulée, j'ai finalement pu me rhabiller.
« déjà dit elle ? Je n’ai pas vu l’heure passer mais heureusement car que va dire ma voisine ? Tu ne dis rien autour de toi trésor »
Elle paraissait gênée et moi aussi d’avoir été grillée par sa voisine.
Je l'ai finalement remercié, et 5 min après dans la voiture j’avais un message de la voisine qui attendait expressément mes services.
Il fallait d’abord que je me remette de mes émotions, quel métier ! |